mardi 30 août 2011

Premières impressions au déballage du Macbook

Je disais donc qu'au mois de juin je recevais mon Macbook Blanc (qui n'est plus disponible sur l'Apple Store). Excité comme un gamin de 10 ans un jour de Noël, je me jette sur le carton blanc et le déballe.

Et d'entrée de jeu c'est très beau ! Le carton est sobre et classe. Tout est bien rangé à l'intérieur, tout est protégé, tout est blanc. Je m'émerveille devant le concentré de technologie qui brille devant mes yeux. Ni une ni deux, je sors l'ordinateur de sa protection, l'ouvre et admire une image excellente. Bien que l'écran soit ultra brillant (ndlr. utilisation de l'écran comme miroir de dépannage), le rendu est très bon et m'impressionne.

Je fais les réglages demandés et je me retrouve sur l'écran d'accueil. Je redémarre pour vérifier le légendaire temps d'allumage... et miracle : c'est très rapide. J'ai pas chronométré, mais il faut une trentaine de secondes pour démarrer et être prêt à l'utilisation. On ne peut pas dire la même chose avec Windows hein.

Me voilà sur Mac OS X. Je suis totalement perdu. Il y a une barre de tâche en haut de l'écran, une autre en bas, je ne connais pas la signification des logos... Bon sang, je veux aller sur Internet moi ! Non sans mal, je trouve le logo de Safari dans le Dock. Je me connecte à la box puis je vais télécharger Firefox (parce qu'il faut pas déconner non plus). Et ça va très vite ! Je lance Safari (1 sec), je cherche Firefox (20 sec), je le télécharge (2-3 min), je l'installe (1-2 min) et c'est fait. Dire qu'avec mon petit netbook j'aurais mis une demie journée...

Le Pad est très agréable. Il est en verre et caresse vos doigts lorsque vous le frôlez. Maintenant, à vous de savoir l'utiliser. A 1 doigt, 2 doigts, jusqu'à 4 doigts ; rotation, zoom, dézoom, scroll, triple back-flip, moonwalk... On se croirait presque dans un jeu de surf où il faut faire le plus de combos possible pour avoir un maximum de points. Mais avec l'habitude, les sensations sont très agréables et je n'utilise que rarement la Magic Mouse qu'on m'a donné (oui oui la chance et tout).

Par contre, le premier WTF est attribué au clavier. Naïf comme je suis, je pensais que les claviers de Microsoft étaient les modèles standards dans chaque pays. Archi faux mon ami ! Je ne trouve pas le point d'exclamation (qui migre vers le "8"), l'arobase se barre au côté opposé et je ne sais toujours pas comment faire des crochets ! Ce n'est que le début de ce qu'on appellera "le_monopole_apple_pour_jamais_faire_comme_les_autres". Cela dit, la frappe est très agréable. Par contre, les touches séparées sont une fausse bonne idée... toutes sortes de saletés passent sous les touches sans pouvoir aller nettoyer (puisque le corps est unibody).

Deuxième WTF d'or attribué à la plaque qui est sous l'ordinateur. C'est un cache qui, en l'enlevant, permet d'accéder aux entrailles du Macbook (du moins, je suppose). Elle est faite en une espèce de matière antidérapante ultra salissante. C'est à dire qu'il suffit de poser l'ordinateur sur un bureau un peu sale et PAF, votre Macbook blanc devient dalmatien. Pourquoi ne pas avoir fait des patins ?

Voilà mes impressions lors du déballage de mon Macbook. Je suis assez content. Il est beau, performant, mais comporte quelques défauts dans l'aspect (écran, clavier, plaque). Le reste viendra plus tard.

lundi 29 août 2011

Premier Mac : pourquoi ?

J'ai pour habitude de réfléchir avant de faire un choix. Je change souvent d'avis d'ailleurs. Et il y a quelques semaines, mon choix se résumait en "Mac ou Windows ?" (excluant parfaitement Linux du lot).

Pourquoi étais-je tourné vers ce choix ? Simplement parce que je suis étudiant, bloggeur et très_vite_fait_rédacteur_sur_le_web_mais_pas_trop_keumême. Les études imposent une grande autonomie lorsqu'on prend ses cours sur ordinateur. Je suis aussi bloggeur, ce qui veut dire que j'ai la classe et la rédaction web (+ deux-trois bricoles sur le net) me dit qu'il me faut un outil professionnel. J'ai alors réuni les ingrédients dans ma tête, j'ai secoué très fort et j'en ai déduit qu'il me fallait un Macbook.

J'ai pris mes cours à la faculté sur un netbook de 10" de marque Dell pendant 2 ans. Ce petit ordinateur était doté d'une batterie 6 cellules qui me permettait de taper 4 heures d'affilé, le temps de mes cours au quotidien. Il m'a beaucoup servi et j'en étais content. Le problème majeur était sa lenteur à exécuter les tâches les plus simples comme s'allumer, s'éteindre ou ouvrir un document. Il me fallait un outil plus performant...

J'avais idée de changer d'ordinateur depuis un moment. Dans cette optique, j'ai mis des sous de côté tous les mois. Mes études m'empêchaient de sortir et de dépenser mon argent. Au bout d'un an, j'avais assez pour me payer un Macbook blanc. Mais en cours d'année j'ai pensé prendre un VAIO de Sony. Ils sont puissants, esthétiques et moins chers qu'un Macbook, à performances égales. Alors ma réflexion était argumentée par des avis tirés de l'Internet. Mais là accrochez-vous bien : une guerre infinie se déroule entre les fanboys Apple et les Microsofts users (avec un big up pour les trolls et leur Linux). Je n'étais pas au courant. Je savais évidemment que les avis divergeaient selon l'utilisateur, mais à ce point...

Quoi qu'il en soit, en juin je me décide à acheter le Macbook blanc de mes rêves. Il est esthétiquement très beau, il est performant (CPU double coeur blablabla) et doté du Mac OS. J'ai lu que c'était un des meilleurs OS du marché. Intuitif, fluide, design, etc. Alors pourquoi pas. Seulement, mon avis est quelque peut différent sur la chose... D'où l'intérêt de ce blog. A mesure que je découvre mon Mac, je vous donne mon avis (notamment par rapport à Microsoft). Mais pas un avis de fanboy ou de hatter. Non, l'avis d'un utilisateur lambda qui a travaillé sous Ubuntu, Windows 95, 98, Millenium, XP, et Vista. Un avis objectif quoi.

Le prochain billet portera sur ma première impression. Portez-vous bien.